PGW 2025: nouvelle DA avec Bigflo, temps forts et ce que nous avons retenu

AuteurArticle écrit par Florian Reumont
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date de publication07/11/2025
Affiche officielle de la Paris Games Week 2025, présentant à gauche le logo stylisé "PGW" en lettres majuscules colorées (P en rouge, G en violet, W en jaune) accompagnées du texte "PARIS GAMES WEEK" en noir sur fond blanc. En dessous, les dates de l'événement sont indiquées en gras : "2025, 30 octobre - 2 novembre", avec "30" en orange et "2" en violet, suivi du lieu "Paris Expo Porte de Versailles" et de l’URL officielle www.parisgamesweek.com. À droite, illustration en 3D d’un univers futuriste et stylisé évoquant le gaming, avec des structures monumentales en forme de lettres P, G et W illuminées, sur lesquelles évoluent des personnages miniatures dans une ambiance immersive mêlant éclairages rouge, violet et jaune. La base de l'affiche affiche les logos de partenaires et sponsors comme Fimalac, Game One, JV, France TV ou encore NRJ.

La Paris Games Week 2025 (PGW) s’est tenue du 30 octobre au 2 novembre 2025 (avec une soirée privée le 29 octobre). Cette édition s’est affichée comme le plus grand rendez-vous gaming de l’année en France, une expérience incontournable pour les fans de jeux vidéo… mais aussi pour les curieux, les familles et toutes celles et ceux qui vibrent pour la culture geek. Nous, Achievement Industry, étions présents chaque jour pour couvrir l’événement au plus près : nouvelles démos, coulisses, sensations de showfloor et retour à froid. Cette année, la nouvelle direction artistiquenouvelle DA avec Bigflo — a donné une identité visuelle et une tonalité scénique marquées, tandis que les temps forts s’articulaient autour de COMPLET – CLAIR OBSCUR | EXPEDITION 33 et du concert officiel « A Painted Symphony », deux rendez-vous très attendus. Reste une question qui fâche : 161 000 visiteurs, contre 188 000 en 2024 et ~300 000 avant le Covid : Paris perdu ou pari en cours ?

 

Une édition placée sous une nouvelle DA avec Bigflo

La vision: une signature pop, lisible et rythmée

La nouvelle DA avec Bigflo a imposé une patte pop, lisible et rythmée : typographies franches, couleurs contrastées, motifs scéniques qui orchestrent la circulation et segmentent les expériences. On sent la volonté d’unifier le salon par une narration visuelle, du pré-show (soirée privée du 29) jusqu’aux scènes publiques. Résultat : une identité immédiatement reconnaissable, qui cadre la photo et fluidifie les contenus à l’ère des shorts/reels. En clair, la forme n’a pas cannibalisé le fond : elle l’a rendu partageable. C’est exactement ce que recherche un salon post-2020 : être vu, compris et relayé en quelques secondes.

Portrait de Bigflo, habillé d’un blouson large en jean et d’un sweat à capuche, posant devant un mur clair à la texture brute. Sur la droite de l’image, un visuel promotionnel sur fond rouge vif annonce son rôle dans la Paris Games Week 2025. On y voit une arche stylisée en 3D surmontée d’un point d’exclamation, avec une lumière blanche émanant de l’intérieur. Le texte en lettres capitales blanches indique : « Bigflo – Consultant artistique de cette édition PGW 2025 ». En bas, le logo coloré de la Paris Games Week est affiché avec les lettres « PGW » en rouge, violet et jaune.

 

Scénographie & tonalité: clair-obscur assumé

Entre lumières directionnelles, zones plus intimistes et grands plateaux, l’édition 2025 a embrassé un clair-obscur qui met en valeur démos et showcases. L’alternance de respiration (espaces posés pour familles et découverte) et de pics d’intensité (annonces, scènes musicales, compétitions) structure le rythme du visiteur. Soulignons la cohérence entre la DA et les grands temps forts : on passe du mystère à la célébration sans rupture. Le salon gagne en lisibilité, en photo-génie, et en “momentum” social.

 

Réception du public: un habillage qui sert l’expérience

« Une DA réussie est celle qu’on oublie quand on s’amuse — parce qu’elle guide sans contraindre. »

Cette maxime résume bien l’ambiance : signalétique efficace, repères clairs, scènes qui captent l’œil. Les visiteurs trouvent plus facilement leur PGW : compétition, découverte indé, essais manette en main, espaces famille. En bref, la DA a facilité la navigation et mis en scène les contenus — une vraie valeur d’usage, au-delà de l’esthétique.

 

Temps forts: CLAIR OBSCUR | EXPEDITION 33 & le concert «A Painted Symphony»

« Clair Obscur | Expedition 33 »: la promesse et l’attrait

CLAIR OBSCUR | EXPEDITION 33 a été un pôle d’attraction majeur. Thématisation, mise en scène et attente narrative : tout concourait à créer l’événement. Qu’on y vienne pour lever un voile sur l’univers, sentir le gameplay ou simplement vivre le reveal dans la salle, la proposition a su aimanter le public. Important : plus qu’un « moment marketing », c’était une expérience — avec ce grain d’énigme qui nourrit les discussions sur le showfloor.

 

« A Painted Symphony »: quand la musique raconte le jeu

Le concert officiel « A Painted Symphony », qui fût complet très vite, a délivré ce que l’on attend d’un rendez-vous premium : arrangements soignés, montage visuel et montées émotionnelles qui rendent palpable l’ADN des jeux. C’est la passerelle idéale entre fans core et public familial : on entend le jeu avant même d’y jouer. Effet halo garanti : les musiques deviennent des souvenirs immédiats, que l’on repart fredonner — et partager.

Photo d’un concert en direct intitulé « Clair Obscur : Expédition 33 » lors de la Paris Games Week 2025. La scène est illuminée par un éclairage sophistiqué mêlant projecteurs blancs, jaunes et bleus, ainsi qu’un décor visuel dynamique composé de fragments lumineux rouges et dorés sur un fond sombre. Au centre de l’écran géant derrière les artistes, le titre du spectacle est affiché en grandes lettres : « CLAIR OBSCUR EXPÉDITION 33 ». Sur scène, une chanteuse se tient debout au micro entourée d’un orchestre symphonique avec violons, violoncelles, contrebasses, piano, batterie et guitares. Le public, partiellement visible au premier plan, est plongé dans l’obscurité, certains spectateurs levant leurs téléphones pour filmer la performance. L’ensemble crée une ambiance immersive et cinématographique, renforçant l’aspect narratif et artistique du concert.

 

L’effet “momentum”: files, frisson, FOMO maîtrisée

Ces deux temps forts ont instauré un rythme d’attentefiles, murmures, compte à rebours — puis un déferlement sur scène. L’équilibre a été plutôt bien tenu : suffisamment de FOMO pour faire vibrer, pas au point de congestionner durablement les autres espaces. Bilan : des pics d’attention qui bénéficient à tout le salon, parce qu’ils mettent en appétit pour le reste.

 

Sur le showfloor: exposants, grands noms et découvertes

AAA & indés: la double hélice

Le mix AAA/indé reste l’ADN d’un grand salon : blockbusters pour aimanter, perles indé pour surprendre. Les visiteurs ont pu enchaîner sensations haute production et découvertes plus expérimentales. C’est aussi là que la DA aide : contrastes et parcours bien marqués créent une lecture intuitive du showfloor. Conseil pour l’année prochaine : pousser encore les “playlines” thématiques (aventure, action, famille, stratégie) pour augmenter le temps de jeu effectif et réduire l’errance.

 

Espaces familles & culture geek: la passerelle d’initiation

La PGW rappelle qu’elle n’est pas qu’un salon d’initiés : ateliers, zones d’essai et espaces pédagogiques ouvrent grand la porte aux familles et aux curieux. Cette année, l’ancrage grand public s’est incarné en vrai : meet & greet avec Mario et Luigi sur le stand Nintendo, animations scéniques accessibles, tournois où des visiteurs montent directement sur scène. Résultat : des moments photo partout, des sourires d’enfants, et une entrée en douceur dans la culture JV.

Plus loin, côté makers/cosplay, la culture geek déploie ses satellites : créations artisanales, props et décors — avec un Claptrap grandeur nature qui fait poser les fans de Borderlands, suscite les questions techniques et donne envie de fabriquer. On vient pour jouer, on reste pour un univers où le costume, la musique, l’artisanat et l’imaginaire se répondent.

Deux mascottes grandeur nature de Mario et Luigi posent devant un mur rouge décoré aux couleurs de Nintendo Switch, lors de la Paris Games Week 2025. Mario, vêtu de sa salopette bleue, son t-shirt rouge et sa casquette rouge marquée d’un « M » blanc, se tient à gauche, tandis que Luigi, en salopette bleue, t-shirt vert et casquette verte ornée d’un « L » blanc, est à droite. Le fond affiche le logo de la Nintendo Switch ainsi que le nom du nouveau modèle « Switch 02 » accompagné du slogan en français : « Jouez ensemble, où vous voulez, quand vous voulez ». On distingue également un écran avec une image de la console et, à droite de l’image, quelques visiteurs du salon dans une file d’attente devant le stand, avec en arrière-plan une affiche du jeu Mario Kart.
Représentation grandeur nature de Claptrap, le célèbre robot jaune et gris de la franchise Borderlands, exposé à la Paris Games Week 2025. Le personnage, avec son œil caméra lumineux au centre et ses deux bras mécaniques levés, semble saluer ou interagir avec le public. Il est installé dans un espace décoré de manière post-apocalyptique, avec des éléments de décor évoquant l’univers de Borderlands : bidons rouillés, tissus usés, et ambiance industrielle. En arrière-plan, on distingue des stands de restauration avec les enseignes « Food Box » et « Toilets », ainsi que des visiteurs assis sur des chaises blanches. L’avant-plan est occupé par une bannière aux motifs violets et noirs.

“On découvre un jeu, on repart avec une histoire — et souvent une photo souvenir.”

 

Compétition & communautés: le carburant social

Même sans entrer dans la technicité de l’e-sport, les rencontres, défis amicaux et animations de scène ont entretenu l’émulation — et Nintendo en a été le meilleur symbole cette année. Plus grand stand de la PGW 2025, l’espace rouge a joué la carte du divertissement live : invités sur scène, tournois ouverts au public et prises de micro pour lancer challenges et mini-finales. Résultat : une agora où se mêlent familles, curieux et joueurs confirmés, portée par des écrans géants et une mise en scène claire qui attire le regard depuis les allées. On y a entendu les cris de foule, vu des photo finish au dernier virage, et assisté à ces petits exploits partageables qui forgent la mémoire d’une édition. Preuve qu’un salon vit d’abord par ses communautés — quand elles montent sur scène, la magie opère.

Vue large et animée du stand Nintendo à la Paris Games Week 2025, fortement fréquenté par les visiteurs. Sous une imposante structure rouge marquée du logo Nintendo et des mentions « Switch 02 », une foule dense se presse autour de plusieurs bornes de jeu. Un grand écran central indique « INVITÉ SPÉCIAL » en lettres noires sur fond blanc, laissant entendre la venue d’une personnalité. Plusieurs jeux sont mis en avant, dont Super Mario Bros. Wonder et Metroid Dread, visibles sur les affiches colorées. Les visiteurs, majoritairement jeunes, sont debout, certains tenant des sacs ou des objets promotionnels, et d’autres pointant leurs téléphones vers la scène. L’ambiance est festive et dynamique, typique des grands événements vidéoludiques. L’éclairage puissant du plafond met en valeur la scène et les décors aux couleurs vives de Nintendo.
Scène de compétition de Mario Kart 8 Deluxe sur le stand Nintendo à la Paris Games Week 2025. Plusieurs joueurs, assis sur des sièges de gaming alignés devant des écrans, participent à une partie multijoueur projetée en temps réel sur un immense écran au-dessus d’eux. L’affichage montre une vue en écran partagé avec quatre joueurs en pleine course sur différents circuits colorés. Un animateur en sweat rouge Nintendo se tient debout sur la scène, micro à la main, assurant l’ambiance. À droite, un photographe capture la scène tandis que d’autres visiteurs observent. L’ensemble est habillé aux couleurs de la Nintendo Switch 02, avec une scénographie rouge vif, des logos bien visibles et un éclairage dynamique. L’événement met en avant l’esprit festif, compétitif et familial de la marque Nintendo.

« On n’était pas venus pour “performer”, mais on s’est pris au jeu — et on a vibré avec la salle. »

 

Studios français à l’honneur

Une scène créative qui force le respect

Parce qu’on aime le redire haut et fort : les studios français font de belles et bonnes choses. À la PGW 2025, leurs projets ont brillé manette en main : directions artistiques affirmées, gameplay lisibles et prises de risque assumées. De notre côté chez Achievement Industry, on a été heureux de voir, en vrai, ce que donnent les jeux, comment ils se jouent, et ce qu’ils proposent aux joueuses et joueurs. Bravo à toutes les équipes : vos démos ont embarqué le public et rappelé pourquoi la création made in France compte sur la scène mondiale.

A Planet of Mine (Tuesday Quest)
A Planet of Mine (Tuesday Quest)
Adorable Adventures (Wild Sheep)
Adorable Adventures (Wild Sheep)
Aether Rush (Hapax)
Aether Rush (Hapax)
AI.IV (Out of Time)
AI.IV (Out of Time)
BloomKeeper (Resonance Interactive)
BloomKeeper (Resonance Interactive)
Childwood (Oneiric Tales)
Childwood (Oneiric Tales)
Dark Hours (Piece of Cake Studios)
Dark Hours (Piece of Cake Studios)
Endless Legend (Amplitude Studios)
Endless Legend (Amplitude Studios)
EndSeeker (Mad Studio)
EndSeeker (Mad Studio)
Heidi's Legacy Mountains Calling (Humble Reeds)
Heidi's Legacy Mountains Calling (Humble Reeds)
Kritter Defend Together (LJF Games)
Kritter Defend Together (LJF Games)
Maseylia Echoes of the Past (Sol Brothers)
Maseylia Echoes of the Past (Sol Brothers)
Memories in Orbit (Focus Entertainment)
Memories in Orbit (Focus Entertainment)
Micromega (Coven)
Micromega (Coven)
Mixcity Swap (Atypique Studio)
Mixcity Swap (Atypique Studio)
Oban (Oxxymore Interactive)
Oban (Oxxymore Interactive)
Otherlights (Soleil Artificiel)
Otherlights (Soleil Artificiel)
Pirates Tactical (Alambik Studio)
Pirates Tactical (Alambik Studio)
Raging Bill (Artpunk Studio)
Raging Bill (Artpunk Studio)
Red Nose Guy Gauntlet Inc. The burnout (Freya Games)
Red Nose Guy Gauntlet Inc. The burnout (Freya Games)
Shinobi Art of Vengeance (Lizardcube)
Shinobi Art of Vengeance (Lizardcube)
Starbug Troopers (Big Loot Games)
Starbug Troopers (Big Loot Games)
The Last Artifact (Skytale)
The Last Artifact (Skytale)
The Rogue Prince of Persia (Evil Empire)
The Rogue Prince of Persia (Evil Empire)
Tides of Tomorrow (Digixart)
Tides of Tomorrow (Digixart)
Windblown (Motion Twin)
Windblown (Motion Twin)
Xion Leak (Gentle Beasts Studio)
Xion Leak (Gentle Beasts Studio)

Un mot pour conclure (et féliciter)

Chapeau bas aux équipes françaises présentes : votre exigence et votre générosité se sont senties en main — et ça, aucun stream ne peut le remplacer. On ressort confiants dans la vitalité de la création hexagonale : des idées, du gameplay, du cœur. Continuez à surprendre, nous serons là pour jouer et raconter.

 

L’énigme des chiffres: 161 000 visiteurs… et après ?

Rappel des repères: 161 000 vs 188 000 vs ~300 000

Les chiffres 2025 annoncent 161 000 visiteurs, contre 188 000 l’année précédente, loin des ~300 000 d’avant-Covid. Factuellement, c’est un recul. Mais que raconte-t-il ? D’abord, une fragmentation des pratiques : le jeu vidéo se consomme partout, tout le temps, et souvent en ligne. Ensuite, une professionnalisation des annonces hors-salon (showcases numériques) qui capte une partie de l’attention. Enfin, un réajustement du marché des salons vers des formats plus ciblés.

 

Pourquoi ce tassement: pistes d’analyse (sans faux-semblants)

Plusieurs facteurs peuvent coexister :

  • Calendriers de sorties & annonces décalés,
  • Budgets déplacement des communautés sous tension,
  • Concurrence d’événements internationaux et formats en ligne,
  • Attentes des visiteurs : jouer plus, attendre moins, vivre des reveals.

Traduction : quand l’expérience live n’offre pas un surcroît d’unique, certains reportent ou sélectionnent.

 

Paris perdu… ou pari en cours ?

Notre lecture: pas un “Paris perdu”, mais un pari en transformation.

161 000 ne signe pas l’échec : il repositionne l’événement. Si la PGW confirme sa valeur d’expérience (DA forte, temps forts musicaux/narratifs, jeu hands-on fluide), elle peut stabiliser son audience qualitative — celle qui vient pour vivre ce qui n’existe pas sur un stream. Le défi 2026 : densifier le “jouable”, clarifier les parcours thématiques, multiplier les moments “only-at-PGW”.

 

Ce que cela dit de l’industrie du jeu en 2025

Un calendrier mondial éclaté

Le jeu vidéo vit au rythme de showcases digitaux et de micro-événements. Les salons physiques doivent composer avec cette modularité. Conséquence : on ne vend plus seulement des annonces, on vend une mise en scène et un temps fort partagé. La PGW 2025 l’a compris avec A Painted Symphony et Clair Obscur | Expedition 33.

 

Des modèles qui migrent vers l’expérience

Entre free-to-play, abonnements et cross-play, les joueurs essayent avant d’adopter. Un salon qui optimise le nombre de sessions jouées par visiteur parle à cette économie de l’essai. Moralité : plus de manettes branchées, moins de friction ; plus d’expériences scéniques, moins de files statiques.

 

PGW, baromètre français

La PGW reste le baromètre hexagonal : elle mesure l’envie de rencontre, le besoin d’embrasser la culture autour du jeu, et la capacité de l’écosystème à faire front commun. 2025 a montré une identité renforcée, des pics d’attention solides, mais aussi le travail qui reste pour remonter le plateau de fréquentation.

 


En quelques mots

PGW 2025, c’est une identité visuelle neuve portée par Bigflo, des temps forts comme COMPLET – CLAIR OBSCUR | EXPEDITION 33 et le concert « A Painted Symphony », un showfloor lisible qui mixe AAA et indés, et une ambition claire : faire du live un supplément d’âme. Les 161 000 visiteurs interrogent : oui, la fréquentation recul[e] par rapport à 2024 et au monde d’avant ; non, ce n’est pas un Paris perdu si la valeur d’expérience continue de monter. Notre pari : capitaliser sur la DA, augmenter le “jouable”, et multiplier les moments uniques qui justifient le déplacement. Rendez-vous en 2026 pour vérifier si le pari est gagné.

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