Test de Life Below sur PC: stratégie, écologie et city-builder sous-marin

AuteurArticle écrit par Vivien Reumont
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date de publication01/06/2025
Affiche promotionnelle d’un jeu vidéo intitulé Life Below, mettant en scène un environnement sous-marin stylisé et fantastique. Au centre de l’image, une grande créature aquatique lumineuse flotte en arrière-plan devant une structure circulaire énigmatique ressemblant à une porte ou un artefact englouti. La créature, dotée de tentacules translucides et d’un corps orangé et bleu, dégage une lueur centrale qui éclaire la scène.  Autour d’elle, de nombreuses petites créatures marines bleues aux grands yeux, rappelant des mascottes ou des personnages du jeu, nagent dans toutes les directions, certaines transportant de petites perles. Le sol marin est recouvert de récifs colorés : coraux cervelle orange, anémones ondulantes, plantes vertes et formations rocheuses aux textures organiques variées. Plusieurs poissons-clowns orange et blanc nagent au milieu des coraux, accompagnés de poissons tropicaux multicolores et de bancs de petits poissons en arrière-plan.  Dans la partie supérieure gauche, un requin et une tortue marine nagent parmi les épaves et débris (barils, filets et éléments métalliques), évoquant une légère thématique écologique. De nombreuses bulles s’élèvent vers la surface, renforçant l’immersion aquatique. Les logos des partenaires de production (Creative Europe MEDIA, Viken Filmsenter, Norsk Filminstitutt et Megapop) sont visibles dans les coins inférieurs.  L’ensemble de la scène dégage une ambiance féérique et immersive, avec des couleurs vives et un éclairage doux sous-marin, illustrant l’univers enchanteur du jeu.

Life Below n'est pas un simple city-builder sous-marin. C'est une invitation à repenser notre relation avec l'environnement marin, à travers une expérience ludique et stratégique. Développé par Megapop et édité par Kasedo Games, ce jeu prévu pour 2026 sur PC nous plonge dans les profondeurs océaniques pour restaurer des récifs coralliens menacés. Avec une narration signée Rhianna Pratchett et une collaboration avec des experts en accessibilité, Life Below promet une aventure aussi enrichissante qu'engagée.

 

 

Une immersion poétique dans les abysses

Vue plongeante d’une scène sous-marine stylisée issue d’un jeu vidéo de gestion aquatique. Au centre de l’image, un grand coquillage spiralé bleu repose sur une structure circulaire lumineuse de couleur turquoise, émettant des halos et des effets visuels évoquant un élément clé du gameplay. Autour de lui, le fond marin est recouvert d’une végétation riche et variée : coraux de différentes formes et couleurs (violet, vert, orange, jaune, bleu), algues aux feuillages ondulants, et anémones aux tentacules arrondis et translucides.  Parmi la faune marine visible, un dauphin nage en haut au centre droit, tandis qu’une tortue de mer plane doucement dans le coin supérieur droit. Plusieurs poissons multicolores, dont des poissons-clowns orange et blanc, sont éparpillés dans la scène, évoluant entre les coraux. Des bulles d’air remontent à la surface, accentuant l’effet d’immersion sous-marine.  L’ambiance générale est paisible et féerique, avec des nuances bleutées et une luminosité tamisée qui mettent en valeur les détails graphiques et la diversité de cet écosystème virtuel.

L’univers de Life Below: entre mythologie et réalité

Dans Life Below, on ne contrôle pas un maire ordinaire ou un ingénieur pragmatique: le joueur incarne une émissaire de Gaia, la personnification même de la force vitale de la Terre. Si cette figure évoque souvent une image bienveillante et protectrice dans la culture populaire, ses racines mythologiques sont beaucoup plus complexes et sombres. Gaia, dans la mythologie grecque, est à l’origine de tragédies familiales sanglantes, d’actes de vengeance et de puissants bouleversements cosmiques. Cette dualité offre au jeu une couche narrative intrigante, même si le ton reste ici plus apaisant et contemplatif.

Mais au-delà de la mythologie, Life Below s'appuie sur des données scientifiques concrètes. Le jeu sensibilise à la situation critique des récifs coralliens: ils ne représentent que 0,01 % du plancher océanique mais soutiennent 25 % de la vie marine. Pour garantir l'exactitude de ces informations, les développeurs ont travaillé en étroite collaboration avec des biologistes marins, rendant hommage à la complexité de ces écosystèmes fragiles.

Thalassa, gardienne des océans: une protagoniste inspirée

Plutôt qu’un simple avatar, le joueur dirige des créatures marines lumineuses et agiles, sortes d’enfants d’une pieuvre magique, qui se déploient sur les fonds marins afin de bâtir et restaurer un écosystème prospère. Ces créatures deviennent les mains du joueur, posant les "bâtiments" et attirant les espèces marines nécessaires au bon équilibre du récif.

Chaque action entreprise résonne avec l'écosystème global. Introduire une nouvelle espèce, planter une variété de corail ou construire un abri modifie la dynamique du récif, obligeant le joueur à prendre en compte l'ensemble du système, et non des éléments isolés. Cette approche systémique, loin d'être moralisatrice, place le joueur dans une position de co-créateur du vivant, flirtant parfois avec une forme de spiritualité écologique.

 

Mécaniques de jeu: entre gestion stratégique et sensibilisation écologique

Capture d’écran d’une interface de jeu vidéo de gestion sous-marine. L’image montre une large vue plongeante d’un récif de corail stylisé et coloré, peuplé de nombreuses espèces de coraux et de créatures marines dans un environnement aquatique en teintes de bleu, violet, vert et rose. Au centre de l’écran, un grand coquillage spiralé bleu repose sur un socle lumineux entouré d’un cercle turquoise éthéré, suggérant un élément clé du gameplay. Autour de lui, divers types de coraux sont répartis harmonieusement : algues vertes ondulantes, coraux en forme de bulbes, de cerveaux, de branches et d’anémones aux couleurs vives. De petits poissons colorés nagent en bancs à travers le décor.  L’interface de jeu affiche plusieurs informations en haut de l’écran, telles que la température de l’eau (23°C), le pH (8.2 pH), des ressources (argent, perles, biomasse), des compteurs d’énergie et de population, ainsi qu’une mini-carte en haut à gauche indiquant la zone "Shoreline Gulf". En bas de l’écran, une barre de sélection montre différents types de coraux et coquillages disponibles à placer : Algae Coral, Sprout Coral, Soul Well, Moon Coral, Brain Coral et Clam, chacun accompagné de son icône et de ses caractéristiques de gameplay. À droite, des icônes de contrôle de température, d’accélération du temps, et de gestion de la partie sont visibles.  L’ensemble de la scène transmet une ambiance paisible et stratégique, propre aux jeux de gestion d’écosystèmes marins.

Construction et expansion du récif corallien

Au cœur de Life Below se trouve un gameplay de gestion classique revisité pour le milieu sous-marin. Sur une grille représentant le plancher océanique, le joueur implante diverses structures biologiques. Chaque "bâtiment" n’est pas un simple immeuble, mais plutôt une installation naturelle: des forêts de seagrass, des bancs de corail ou encore des nurseries pour poissons. Ces éléments servent à attirer et héberger différentes espèces marines, chacune jouant un rôle crucial dans l'équilibre de l’écosystème.

Le défi ne réside pas uniquement dans l’expansion rapide, mais dans l’harmonie entre les espèces introduites et les structures mises en place. Un mauvais équilibre peut engendrer des déséquilibres écologiques, voir même provoquer l'effondrement du récif. Chaque choix de développement implique donc une réflexion à long terme, intégrant les chaînes alimentaires, les besoins spécifiques des espèces et la capacité du récif à s’auto-entretenir.

Gestion des ressources et des espèces marines

Comme tout bon city-builder, Life Below demande de gérer des ressources. Mais ici, pas de bois, de minerai ou d’or. Les ressources sont les nutriments, l’oxygène, la biodiversité et la santé des coraux. Ces éléments se régénèrent ou déclinent selon les conditions environnementales et les décisions du joueur. Par exemple, l’introduction d’une espèce prédatrice peut réduire la population de poissons herbivores, impactant indirectement la prolifération d’algues.

Certains bâtiments permettent de moduler les flux biologiques, en créant des courants favorables ou en filtrant des substances polluantes. Cette approche, à mi-chemin entre stratégie et biologie marine, offre une richesse de gameplay qui dépasse largement le cadre éducatif.

Défis environnementaux: pollution, espèces invasives et changement climatique

Mais l’équilibre du récif est constamment menacé. Pollutions accidentelles, marées noires, déchets plastiques, proliférations d’algues ou invasions de parasites sont autant de catastrophes naturelles et anthropiques que le joueur devra contrer. Certaines menaces nécessitent l'intervention de créatures spéciales, véritables "agents de nettoyage" de la nature.

Par exemple, une hypothétique bactérie symbiotique pourrait être utilisée pour dégrader les hydrocarbures, ou des poissons spécialisés pourraient aider à contrôler des invasions d’espèces nuisibles. Le joueur doit anticiper ces crises et adapter son écosystème pour résister à ces agressions, illustrant en filigrane la résilience et la vulnérabilité des environnements marins face aux activités humaines.

 

Accessibilité et engagement social

Une collaboration avec des experts en accessibilité

L’un des aspects les plus remarquables de Life Below réside dans son engagement en faveur de l’accessibilité, un sujet encore trop souvent négligé dans l’industrie du jeu vidéo. Le studio Megapop a collaboré avec le consultant en accessibilité Arevya ainsi que l’association britannique Special Effect, spécialisée dans l’aide aux joueurs en situation de handicap.

L’objectif est clair: faire de Life Below l’un des city-builders les plus accessibles jamais créés. Ce n’est pas seulement une question d’ajustement d’interface ou de sous-titres bien calibrés. Cela passe par une refonte en profondeur de l’ergonomie du jeu, avec des commandes simplifiées, des options de personnalisation poussées pour les contrôles et les visuels, et un soin particulier apporté à la lisibilité des informations.

Ainsi, les personnes souffrant de limitations motrices, de troubles de la vision ou de difficultés cognitives pourront pleinement profiter de l'expérience sans être mises de côté. Cette démarche permet aussi d’offrir un confort de jeu accru à tous les joueurs, quels que soient leurs besoins spécifiques.

Un jeu pour tous: adaptations et inclusivité

Au-delà des aspects purement techniques, Life Below se distingue par son message universel et sa volonté d’inclusivité. Le choix du thème écologique, la représentation d’un monde où chaque espèce a un rôle essentiel, et la coopération entre les formes de vie renvoient à une vision holistique du monde naturel, où personne n’est laissé pour compte.

L’interface est également pensée pour être aussi intuitive que possible, dans la lignée de la promesse faite par les développeurs d’en faire "l’un des city-builders les plus accessibles jamais créés". Cela devrait permettre à un large public de découvrir les enjeux complexes de la biologie marine sans jamais se sentir dépassé par la complexité des mécaniques.

Enfin, cette accessibilité accrue ne compromet pas la profondeur stratégique du jeu. Les joueurs chevronnés trouveront toujours des défis pointus et des systèmes complexes à maîtriser, mais ceux qui découvrent le genre pourront s’y initier sans frustration excessive.

 

Une direction artistique envoûtante

Illustration colorée d’un environnement sous-marin stylisé, probablement issu d’un jeu vidéo. Au centre de l’image, une créature aquatique fictive flotte au-dessus du sol marin. Elle possède un corps bleu translucide, de grands yeux noirs expressifs et une petite nageoire dorsale en forme de couronne. La créature tient entre ses nageoires une perle lumineuse. Autour d’elle, un récif de corail richement détaillé s’étend : coraux aux formes variées, anémones aux teintes vives de rose, violet, orange et jaune, ainsi que des plantes aquatiques ondulant dans le courant. Plusieurs poissons stylisés nagent dans la scène, dont des poissons-clowns orange et blanc à gauche, et des poissons chirurgiens bleus avec des touches de jaune à droite et au premier plan. À l’arrière-plan, des formations rocheuses et des bancs de poissons flous suggèrent la profondeur de l'océan. L’ensemble de la scène est baigné dans une lumière bleutée douce, créant une atmosphère féerique et immersive.

Graphismes et ambiance sonore: une immersion totale

Dès les premières minutes, Life Below parvient à captiver le joueur par son esthétique sous-marine soigneusement travaillée. Ici, pas de couleurs criardes ou de représentations caricaturales des fonds marins: les développeurs ont opté pour une palette de couleurs apaisante, où les bleus profonds, les verts bioluminescents et les teintes coralliennes créent un univers onirique et crédible.

Chaque espèce est modélisée avec un souci du détail quasi-naturaliste, mais toujours légèrement stylisé pour ne pas tomber dans le réalisme froid. Les animations des créatures marines, ondulant gracieusement dans les courants, contribuent à cette ambiance presque hypnotique, renforcée par des jeux de lumière dynamiques simulant le mouvement constant de l’eau et des particules en suspension.

L’environnement sonore, quant à lui, joue un rôle essentiel dans cette immersion. La bande sonore minimaliste, ponctuée de sons aquatiques naturels et de nappes musicales éthérées, crée une atmosphère à la fois relaxante et mystérieuse. Même les moments de tension — lorsqu’une pollution surgit ou qu’une infestation s’installe — restent enveloppés dans cette ambiance feutrée qui distingue Life Below de nombreux city-builders plus stressants et frénétiques.

Narration et storytelling: la patte de Rhianna Pratchett

Pour ancrer encore davantage le joueur dans cet univers marin, les développeurs ont fait appel à Rhianna Pratchett, scénariste renommée connue notamment pour son travail sur Tomb Raider et Mirror’s Edge. Son approche narrative vient enrichir l’expérience sans jamais prendre le pas sur la gestion pure.

Plutôt que de proposer un récit linéaire classique, Life Below offre une narration environnementale subtile, où les histoires émergent des interactions entre les espèces, des choix de développement et des menaces surmontées. Des fragments de lore et des messages transmis par Gaia viennent également ponctuer la progression, donnant au joueur des perspectives philosophiques et parfois poétiques sur son rôle de gardien du vivant.

Cette forme de narration douce, presque méditative, permet à chaque partie d’être unique et personnelle, renforçant l’idée que chaque récif créé est le fruit d’une symbiose fragile entre intervention humaine et processus naturels.

 

Perspectives et attentes pour la version finale

Retour sur notre preview de Life Below

Nous avons eu l’opportunité de découvrir une version preview de Life Below avant sa sortie officielle. Ce premier contact nous a permis de constater que les promesses de Megapop et Kasedo Games semblent en bonne voie d’être tenues.

Dès nos premières heures de jeu, nous avons été impressionnés par la richesse des interactions écologiques. La gestion fine des chaînes alimentaires, l’impact des courants marins et la nécessité de planifier chaque développement en fonction des menaces potentielles offrent une profondeur stratégique convaincante. Le jeu parvient à équilibrer accessibilité et complexité, permettant aussi bien aux novices qu’aux joueurs expérimentés de s’y retrouver.

Techniquement, le jeu nous a semblé déjà très stable et fluide. L’interface est claire, ergonomique, et l’aspect visuel du monde sous-marin est particulièrement réussi, avec une direction artistique soignée qui contribue pleinement à l’immersion. Bien sûr, quelques éléments méritent encore d’être équilibrés, notamment la gestion des infestations et certains aléas liés à la pollution, mais globalement, cette preview nous a laissé une impression très positive sur l’état d’avancement du projet.

Anticipations pour la sortie en 2026

La version complète, attendue en 2026, promet d’enrichir encore davantage l’expérience. De nouvelles espèces, des biomes variés, des mécaniques de recherche scientifique et des scénarios narratifs additionnels sont annoncés. Le système de gestion des crises devrait également être étoffé, avec des catastrophes environnementales aux conséquences plus nuancées.

L’un des aspects les plus attendus reste l’approfondissement des interactions narratives autour de Gaia et du lore sous-jacent, où les choix du joueur pourraient avoir des répercussions à long terme sur la stabilité du récif et sur l’histoire émergente de chaque partie.

Enfin, la dimension éducative discrète mais bien présente du jeu constitue une de ses grandes forces. Sans jamais imposer un ton moralisateur, Life Below amène naturellement les joueurs à s’interroger sur la fragilité des écosystèmes et sur les responsabilités humaines vis-à-vis des océans.

Si la version finale tient toutes ses promesses, Life Below pourrait bien s’imposer comme l’une des références du city-builder écologique et accessible, combinant réflexion, gestion exigeante et émerveillement constant.

 


Points positifs et points négatifs

Les points positifs

  • Un city-builder original et intelligent, qui renouvelle le genre avec son approche écologique.
  • Direction artistique superbe avec des visuels sous-marins envoûtants et une ambiance sonore immersive.
  • Mécaniques de gestion écologiques bien pensées, avec des interactions complexes entre espèces et ressources.
  • Grande accessibilité, grâce à la collaboration avec Arevya et Special Effect, permettant à un maximum de joueurs de profiter du jeu.
  • Narration subtile et poétique signée Rhianna Pratchett, qui enrichit l’expérience sans l’alourdir.
  • Engagement scientifique réel grâce à la participation de biologistes marins dans le développement.

Les points négatifs

  • Certaines mécaniques de gestion des crises (pollution, invasions) manquent encore d’équilibrage dans la preview.
  • Le côté éducatif, même s’il est discret, ne plaira peut-être pas à tous les joueurs de stratégie pur jus.
  • Manque temporaire de contenu dans la preview: quelques espèces et biomes supplémentaires seraient bienvenus.
  • Risque de répétitivité sur le long terme si les interactions écologiques ne se diversifient pas suffisamment d’ici la version finale.

En quelques mots

Nous avons eu la chance de recevoir une preview de Life Below, et le moins que l'on puisse dire, c'est que le projet de Megapop et Kasedo Games s'annonce aussi original qu’ambitieux. Derrière son apparente douceur aquatique se cache un véritable jeu de gestion stratégique, riche et exigeant, où chaque décision impacte un écosystème vivant et en perpétuel équilibre.

L’alliance réussie entre pédagogie environnementale et profondeur ludique est sans doute ce qui distingue le plus Life Below des autres city-builders du marché. En confiant la narration à Rhianna Pratchett, en collaborant avec des biologistes marins et des experts en accessibilité, les développeurs ont pris soin de peaufiner chaque facette du jeu, pour en faire bien plus qu’une simple expérience de gestion.

Si la preview laisse déjà entrevoir de solides fondations, l’attente reste grande pour la version complète en 2026, qui pourrait bien s’imposer comme une véritable référence pour tous ceux qui souhaitent conjuguer réflexion stratégique, immersion artistique et prise de conscience écologique.

Dans un monde vidéoludique saturé de constructions bétonnées, voir émerger un city-builder qui fait respirer les coraux est, à lui seul, un petit courant d'air frais.

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