Salons de jeu vidéo 2025: ChinaJoy, Gamescom, PGW et les grands gagnants

AuteurArticle écrit par Vivien Reumont
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date de publication05/11/2025

Chaque année, des centaines de milliers de passionnés, de développeurs, d’éditeurs et de journalistes se retrouvent dans les plus grands salons de jeu vidéo à travers le monde. Ces événements, véritables vitrines de l’industrie, ne sont pas seulement des festivals ludiques ; ils incarnent les tendances, les tensions et les ambitions du secteur. Mais pourquoi certains salons explosent-ils en fréquentation pendant que d'autres peinent à retrouver leur éclat d’antan ?

De la gigantesque ChinaJoy en Chine à la Gamescom de Cologne, en passant par la Paris Games Week ou encore les salons asiatiques comme le Tokyo Game Show ou la gamescom Asia, les dynamiques de fréquentation de 2024 et 2025 racontent une histoire bien plus riche que des chiffres bruts.

Dans cet article, nous allons décortiquer les raisons du succès ou du recul de ces grands événements vidéoludiques, à travers les données récentes et surtout les retours des principaux concernés : les visiteurs et les exposants. Qu’est-ce qui attire les foules ? Qu’est-ce qui les fait fuir ? Quelles sont les clés d’un salon réussi en 2025 ? Plongeons dans les coulisses de ces rendez-vous planétaires.

 

ChinaJoy : le géant mondial du jeu vidéo

Une domination en volume (2024 : ~367 000 – 2025 : ~410 300)

S’il y a un salon que l’on ne peut pas ignorer, c’est bien le China Digital Entertainment Expo, plus connu sous le nom de ChinaJoy. Tenu à Shanghai, cet événement est tout simplement le plus grand salon de jeu vidéo au monde en termes de fréquentation physique en 2025, avec 410 300 visiteurs enregistrés, pulvérisant même les records d’avant la pandémie. En 2024 déjà, il avait attiré 367 000 personnes, confirmant une croissance impressionnante depuis 2023 (338 000).

Et pourtant, il n’a pas toujours été sur le devant de la scène. L’édition 2022, baptisée "MetaJoy", s’était tenue majoritairement en ligne, avec peu ou pas de fréquentation physique. Ce n’est qu’en 2023 que la reprise a vraiment eu lieu, et depuis, la montée en puissance est constante.

“La Chine reste un marché colossal, et le ChinaJoy le représente parfaitement. Aucun autre salon ne réunit autant d’acteurs du jeu vidéo mondial sur un même site, avec une telle densité d’innovations et de démonstrations.”
— Témoignage d’un exposant européen présent depuis 2016

Pourquoi ça marche : marché chinois, expérience ultra-immersive, retours d’exposants & visiteurs

Le succès du ChinaJoy repose sur plusieurs piliers bien identifiés par les professionnels :

  • Un marché intérieur gigantesque : la Chine représente le premier marché mondial du jeu vidéo. Ce salon est donc une passerelle stratégique vers des millions de joueurs et consommateurs potentiels.
  • Une production technologique ambitieuse : VR, jeux mobiles, intelligence artificielle, cloud gaming... ChinaJoy n’est pas juste un salon de jeux, c’est une vitrine de la techno-ludification chinoise.
  • Une mise en scène spectaculaire : la surface d’exposition dépasse 120 000 m², avec des stands ultra-immersifs, des compétitions d’e-sport, et des animations continues. Beaucoup de visiteurs parlent même d’un “parc d’attractions vidéoludique”.

Du côté des exposants, le retour est très positif sur l’édition 2025. Plusieurs studios étrangers ont déclaré avoir rencontré des partenaires potentiels inaccessibles dans d’autres salons, notamment pour le mobile gaming et le publishing asiatique. Les visiteurs, eux, saluent l'organisation massive et la densité du contenu, même si certains regrettent une légère surcharge et un manque d’espace de circulation en 2025.

“On vient ici pour voir l’avenir. Les autres salons montrent ce qu’il se passe aujourd’hui. ChinaJoy, lui, te fait comprendre ce qui t’attend dans 5 ans.”
— Visiteur professionnel, éditeur mobile basé en Corée

 

Gamescom : la montée forte en Europe

Chiffres 2024 (~335 000) → 2025 (~357 000) et contexte post‑Covid

Organisée à Cologne, en Allemagne, la Gamescom est désormais le plus grand salon de jeu vidéo d’Europe, et le deuxième au monde en fréquentation après ChinaJoy. Après un passage difficile pendant la période Covid, l’événement a connu une remontée spectaculaire depuis 2022, culminant à 357 000 visiteurs en 2025, contre 335 000 en 2024.

Pour beaucoup, la Gamescom 2025 marque un record post-pandémique, même si elle n’a pas encore rattrapé le sommet historique de 2019. Sa croissance constante depuis 2022 en fait néanmoins une référence incontournable du calendrier vidéoludique international.

Ce rebond s’explique par un certain nombre de facteurs structurels :

  • Un calendrier bien positionné (fin août), idéal pour annoncer les titres de la rentrée et faire tester les démos jouables.
  • Une réouverture du public grand format dès 2023, ce qui a permis de reconstruire une dynamique de masse.
  • Une volonté claire d’internationaliser le salon, avec de plus en plus d’exposants hors d’Europe.

Forces et retours terrain : logistique, localisation, spectacle vs critiques

Les visiteurs et exposants s’accordent sur plusieurs points forts de la Gamescom :

  • Accessibilité : Cologne est bien desservie, que ce soit par avion, train ou route. Les infrastructures sont adaptées à un afflux massif.
  • Expérience de visite bien rythmée : files d’attente réduites, stands interactifs, zones e-sport, merchandising, concerts... Le salon pense à tous les profils.
  • Visibilité médiatique massive : en raison de sa taille, chaque annonce faite à la Gamescom a un impact global.

“C’est la seule convention où je peux essayer un jeu, assister à un concert live, rencontrer un développeur indépendant et acheter un t-shirt Zelda en moins de 2 heures.”
— Visiteur belge, Gamescom 2024

Cependant, quelques critiques reviennent aussi, notamment en 2025 :

  • Saturation des espaces : avec près de 360 000 personnes, la densité devient difficile à gérer aux heures de pointe.
  • Hausse des coûts : certains visiteurs déplorent une augmentation notable des prix (billetterie, hébergement, restauration).
  • Fatigue logistique : les exposants parlent d’un montage/démontage de plus en plus éprouvant.

Malgré cela, le bilan reste très positif : la Gamescom confirme sa stature de grand-messe du jeu vidéo européen, avec un mélange habile de business, de fan culture et d’innovations technologiques.

 

Paris Games Week : la dynamique hexagonale sous tension

Des chiffres contrastés : hausse, puis rechute en 2025

Longtemps perçue comme l’un des piliers européens des salons de jeu vidéo, la Paris Games Week (PGW) affiche une trajectoire nettement moins linéaire que ses concurrentes. Après une timide reprise en 2022 (150 000 visiteurs), la fréquentation avait grimpé de manière encourageante en 2023 (environ 180 000 à 187 000 selon les sources), pour atteindre 188 000 visiteurs en 2024. Mais en 2025, la PGW rechute à 161 000 visiteurs, marquant une baisse significative.

Cette dynamique en dents de scie tranche avec la tendance à la hausse observée ailleurs en Europe et en Asie. Le salon semble avoir du mal à maintenir une croissance durable depuis la pandémie, restant bien en deçà de ses années fastes (plus de 300 000 visiteurs en 2017-2019).

Les causes de cette stagnation sont multiples :

  • Un calendrier de plus en plus concurrentiel, avec la Gamescom qui écrase la scène européenne.
  • Une offre jugée trop classique par une partie du public, avec moins d’annonces exclusives et peu de vraies surprises.
  • Des absences notables d’acteurs majeurs, comme Nintendo ou certains éditeurs internationaux, qui réorientent leurs efforts vers d’autres salons ou formats numériques.

Les critiques des visiteurs : prix, contenu et positionnement

Du côté des participants, les avis sont partagés. Si certains apprécient toujours l’ambiance conviviale et la possibilité de tester des jeux populaires, beaucoup évoquent une forme de lassitude.

“C’est sympa, mais on a un peu l’impression de revoir le même salon qu’il y a 5 ans. Rien de vraiment neuf.”
— Visiteur parisien, PGW 2025

Les critiques les plus fréquentes concernent :

  • Le prix d’entrée jugé élevé pour un contenu qui, selon certains, n’est pas à la hauteur.
  • Un manque de surprises dans les annonces ou les jeux jouables.
  • L'absence d'une vraie dimension internationale, qui donne au salon une allure plus régionale que mondiale.

En revanche, certains points sont régulièrement salués :

  • L’accès facilité pour les familles et les plus jeunes, ce qui rend l'événement plus accessible que d'autres grandes conventions.
  • La présence d’acteurs locaux et de studios français, qui continuent à jouer le jeu.
  • Les zones dédiées à l’e-sport et aux écoles de jeu vidéo, appréciées pour leur rôle éducatif.

Mais pour retrouver un second souffle, la PGW devra sans doute réinventer son format, se repositionner sur la scène internationale ou oser des partenariats plus ambitieux.

 

L’Asie en pleine accélération : Tokyo Game Show & gamescom Asia

Tokyo Game Show : 2024 (~274 739) → 2025 (~263 101) : pourquoi léger recul ?

Le Tokyo Game Show (TGS), organisé chaque année à Chiba dans le centre d’exposition Makuhari Messe, reste une référence mondiale dans le paysage vidéoludique. En 2024, l’événement avait connu une fréquentation remarquable avec 274 739 visiteurs, mais a connu une légère baisse en 2025 à 263 101 personnes. Un recul mineur, certes, mais qui interroge.

Cette baisse ne remet pas en cause la place du TGS comme leader technologique et culturel au Japon, mais elle traduit un rééquilibrage régional face à d’autres événements asiatiques qui gagnent rapidement en influence.

Les raisons évoquées par les professionnels pour ce léger repli :

  • Une édition 2025 jugée plus conservatrice, avec moins de grosses annonces de studios japonais majeurs.
  • Un manque d’interaction physique sur certains stands, en raison d’un recentrage partiel sur le digital.
  • Une concurrence accrue de salons comme gamescom Asia, qui siphonne une partie du public et des exposants internationaux.

Malgré tout, le TGS continue à offrir une expérience riche :

  • Forte présence des éditeurs japonais historiques comme Capcom, Bandai Namco ou Square Enix.
  • Zone indé en plein essor.
  • Présentation régulière de technologies immersives (VR/AR), très appréciées du public.

“Le Tokyo Game Show, c’est moins la foule que la finesse. On y découvre souvent les idées les plus novatrices, même si c’est parfois moins spectaculaire que la Gamescom.”
— Développeur indé basé à Osaka

gamescom Asia x Thailand Game Show : explosion des chiffres en 2025, retours & spécificités asiatiques

La gamescom Asia, initialement lancée à Singapour, a connu une trajectoire fulgurante depuis sa première édition B2B en 2022. En 2023, le salon s’ouvre au public avec plus de 41 000 visiteurs, mais c’est en 2025 que tout explose grâce à une fusion événementielle avec le Thailand Game Show à Bangkok, pour atteindre plus de 206 000 visiteurs.

Ce chiffre représente la plus forte progression de tous les salons mondiaux sur la période post-Covid.

Plusieurs éléments expliquent ce bond :

  • L’union stratégique entre deux événements complémentaires : Singapour pour le B2B, Bangkok pour le public grand public.
  • Une montée en puissance de l’Asie du Sud-Est dans le paysage gaming mondial.
  • Un positionnement régional parfaitement calibré : accessibilité, diversité linguistique, soutien institutionnel.

Les retours des visiteurs et exposants sont particulièrement enthousiastes :

  • Ambiance très festive, stands dynamiques, conférences variées.
  • Présence de nombreuses marques locales et asiatiques émergentes (Nexon, miHoYo, Garena, etc.).
  • Organisation efficace malgré la rapidité de montée en charge.

“Ce salon est en train de devenir un pont entre les écosystèmes européens, japonais et sud-asiatiques. On y voit à la fois du spectacle, du business, et de la passion brute.”
— Journaliste spécialisé, présent depuis 2023

Avec une telle dynamique, la gamescom Asia s’installe désormais comme un acteur clé du calendrier mondial, avec un avenir très prometteur.

 

La scène américaine : PAX West et ses défis

Estimations (~120 000) pour 2025, recul d’influence et absence de données officielles

La PAX West, organisée chaque année à Seattle, reste l’un des salons les plus emblématiques pour les joueurs nord-américains. Mais contrairement à d’autres événements majeurs comme la Gamescom ou le TGS, la PAX ne communique plus officiellement ses chiffres de fréquentation depuis plus d’une décennie. Il faut donc se baser sur des estimations issues de la presse spécialisée ou d’instituts comme Jon Peddie Research.

Pour 2025, plusieurs sources convergent vers une participation approximative de 120 000 visiteurs, soit un niveau stable par rapport aux années précédentes. En 2024, bien que décrite comme un succès, l'édition n’avait pas non plus de chiffres précis publiés.

Cette opacité assumée tranche avec les autres salons internationaux, et reflète peut-être une approche différente du positionnement de la PAX : moins axée sur les chiffres records que sur l’expérience communautaire.

Cela dit, il est clair que la PAX a perdu de son rayonnement mondial, notamment depuis la disparition de l’E3 et la montée en puissance des salons asiatiques. Elle reste très forte sur le plan national, mais ne joue plus dans la même cour que les géants internationaux.

Ce que disent les habitués : communauté forte mais rayonnement global limité

Malgré ce recul d’influence globale, la PAX West conserve une base de fans extrêmement fidèle, qui en font un événement à part. Là où d'autres salons misent sur la taille et la visibilité internationale, la PAX se concentre sur l’authenticité de l’expérience joueur.

Les visiteurs évoquent :

  • Une ambiance “entre passionnés”, bien loin des grandes messes ultra-corporates.
  • Des conférences très accessibles, souvent menées par des créateurs indépendants, des développeurs ou des figures de la communauté.
  • Un vrai lien entre public et exposants, favorisé par la taille humaine de l’événement.

“La PAX, c’est un peu comme un Comic-Con pour gamers. C’est plus cosy, plus sincère, et on ne vient pas ici pour les trailers AAA. On vient pour les gens.”
— Streamer indépendant, PAX West 2025

Cela dit, plusieurs critiques émergent aussi :

  • Une stagnation en termes de contenu : les visiteurs réguliers notent peu d’évolutions dans le format ou la programmation.
  • Des absences notables d’acteurs majeurs, préférant les salons asiatiques ou européens pour leurs annonces.
  • Une visibilité internationale quasi nulle, qui limite l’intérêt des exposants non nord-américains.

En somme, la PAX West ne cherche plus à être un leader mondial, mais plutôt un rassemblement communautaire fort, ancré dans une tradition américaine du jeu vidéo, centrée sur les joueurs et les développeurs indépendants.

 

Leçons tirées : les ingrédients d’un salon qui marche (et les pièges à éviter)

Facteurs clés de succès : marché, lieu, format, partenariat, expérience visiteur/exposants

À l’issue de cette analyse, une évidence se dégage : un salon de jeu vidéo réussi ne dépend pas uniquement de sa taille ou de son prestige passé. Les événements qui progressent (comme ChinaJoy, gamescom ou gamescom Asia) ont en commun plusieurs piliers stratégiques :

  • Un ancrage territorial solide : les salons qui cartonnent sont souvent situés dans des hubs du jeu vidéo (Shanghai, Cologne, Tokyo) avec des réseaux de transport, un public local important et un soutien institutionnel.
  • Une vision claire du public cible : B2B, B2C ou hybride ? Les salons qui réussissent aujourd’hui sont ceux qui savent à qui ils parlent, et adaptent leur offre en conséquence.
  • Des partenariats intelligents : la fusion entre gamescom Asia et Thailand Game Show en est un parfait exemple. En unissant leurs forces, les deux événements ont explosé leur visibilité régionale et globale.
  • Une expérience complète et immersive : démonstrations jouables, show e-sport, zones thématiques, activités annexes (concerts, goodies, cosplay...). Le “simple salon d’exposition” ne suffit plus.

“Ce n’est plus une question de contenu, mais d’émotion. Les gens veulent vivre un moment. C’est ça qui les fait revenir.”
— Responsable marketing chez un éditeur AA présent à la Gamescom

Tendances et attentes 2024‑2025 : hybridation, internationalisation, segments B2B/B2C, retour d’expérience

Les années 2024 et 2025 ont confirmé que le monde de l’événementiel vidéoludique évolue rapidement. Parmi les tendances majeures observées :

  • L’hybridation : même si le tout-virtuel s’est essoufflé après 2022, les formats hybrides (conférences online, plateformes interactives) perdurent en soutien de l’événement physique.
  • Une internationalisation croissante : de plus en plus de studios étrangers exposent dans des salons asiatiques, et vice-versa. La frontière géographique devient secondaire.
  • Un retour en force des segments B2B : dans un contexte de consolidation du marché, les salons deviennent aussi des lieux d’affaires où se signent contrats, recrutements et levées de fonds.
  • Des visiteurs plus exigeants : la génération post-Covid veut en avoir pour son argent. Cela signifie moins de files, plus de contenu interactif, et surtout… des raisons claires de venir plutôt que de suivre l’événement depuis chez soi.

Les salons qui ne s’adaptent pas à ces réalités risquent de stagner, voire de décliner — comme l’indiquent les chiffres de la PGW ou la difficulté de la PAX à se renouveler. À l’inverse, ceux qui innovent sur le fond comme sur la forme semblent promis à un avenir florissant.

 


En quelques mots

Entre les chiffres impressionnants de la ChinaJoy et la croissance régulière de la Gamescom, en passant par la montée fulgurante de la gamescom Asia, une chose est claire : les salons de jeu vidéo sont loin d’être morts, mais ils évoluent. Le public a changé, les attentes ont mûri, et la concurrence mondiale impose à chaque événement de se redéfinir en permanence.

Les chiffres de 2024 et 2025 dessinent une carte du monde vidéoludique en mutation, où l’Asie s’impose de plus en plus, où l’Europe stabilise ses piliers, et où l’Amérique du Nord doit trouver un nouveau souffle. Quant à la France, elle doit repenser sa proposition si elle souhaite revenir dans la course.

Mais au-delà des volumes et des courbes, ce sont les expériences humaines, les émotions vécues dans les allées, les échanges entre passionnés et les découvertes partagées qui font l’âme d’un bon salon. Et tant que cette magie opère, ces événements auront encore de beaux jours devant eux.

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